Chantal jeûne 7 jours à la Tranche-Sur-Mer pour des bouffées de chaleurs. Elle explique comment elle détourne son attention de la faim pour jeûner plus sereinement.
Le jeûne hydrique de Chantal comment oublier la faim.
Eric GANDON : “Comment tu vas ? Tu as jeûné c’est ça ? Est-ce que ça a été difficile ?”
Chantal : “Bah ça va très bien. Oui, j’ai jeûné depuis samedi dernier. On est au début de mon 7 ème jour de jeûne. Je me sens vraiment en forme. Je ressens vraiment les bénéfices. Je n’ai pas souvenir de crise d’acidose mais ce qui s’est passé, c’est que j’aime bien manger. On dit les 3 premiers jours, pour moi, ça a été les 4 premiers jours où j’ai eu une envie de manger assez importante. Ça, ça a été inconfortable. J’ai réussi à le gérer. Déjà, l’accompagnement ici, quand j’étais toute seule c’est là que j’y pensais le plus. Mais là, les activités dès le matin comme le yoga, et toutes les activités qu’on fait par la suite, et la méditation qui nous détend. Il faut juste penser à autre chose quoi. Être ailleurs également. Je le savais. J’ai un métier d’aide pour les autres, mais avant d’aider les autres, il a fallu que je travaille beaucoup sur moi et il faut que je continue aujourd’hui. C’est un vrai plaisir maintenant. Il n’y a que la séance de yoga d’hier matin, où j’avais passé une nuit délicate, que je n’ai pas faite. Sinon je suis venue à tous les ateliers. Il y avait tellement de choses à apprendre que oui, c’était évident de venir.”
La numérologie de Chantal.
Eric GANDON : “T’es quoi en numérologie ? Ça t’a parlé ?”
Chantal : “Je suis 1. Ça m’a vachement parlé, c’est clair. Surtout pour les décisions. J’aime découvrir, je suis curieuse, je vais vers des choses, c’est assez intuitif. De temps en temps, je décide d’aller vers des choses, on me demande pourquoi, eh bien j’ai pas les mots. Je ne sais pas, mais il faut que j’y aille. Du coup, il y a ça chez moi. Je dois prendre la décision moi-même. C’est quelque chose que j’ai la chance de pouvoir faire dans ma vie privée et dans mon travail actuel.”
Les bienfaits du jeûne hydrique.
Eric GANDON : “L’objet du jeûne, du coup c’était quoi ?”
Chantal : “Alors, l’objet du jeûne… moi je me sens en santé. Mais il y a cette phase de ménopause. Elle est là depuis 3-4 ans. Je me suis dit que ma façon de manger devait changer. Je trouvais que les bébés avaient une certaine alimentation, les enfants, les adolescents, l’adulte. Moi je me suis dis, voilà une femme, c’est peut être le moment de changer également. J’avais des sécheresses, des bouffées de chaleur, plus trop de souplesse. Maintenant, c’est vraiment de temps en temps les bouffées de chaleur. Je n’en ai pas eu étant jeunes, voir même de la frilosité.”
Le changement alimentaire.
Eric GANDON : “Au niveau de l’alimentation, t’as découvert des choses ?”
Chantal : “Alors oui ! J’ai un caractère qui peut botter en touche. J’ai lu beaucoup de choses au sujet de la viande animale et ça m’a amené à réduire mon alimentation au niveau de la viande animale. Ce qui m’a éveillé, c’est quand tu m’as dit qu’il y a le côté digestibilité. C’est à dire prendre des aliments qui sont bien digestes pour nous, et prendre des aliments qui nous apportent des nutriments. Du coup, je me suis demandé s’il fallait autant réduire la viande. Je mange beaucoup d’œufs, je peux manger des petits poissons (sardines, truites…) mais la viande genre bœuf, poulet, j’avais vraiment réduit. Je pense qu’il faudrait que je fasse un repas avec des fruits un moment, et puis un seul repas après avec des crudités. J’ai découvert avant de très bonnes choses, et maintenant j’ai constaté qu’il fallait que j’affine tout ça.”
Le travail émotionnel.
Eric GANDON : “Dis moi, cette semaine on a travaillé sur les émotions, est-ce qu’il y a des choses qui t’ont interloqués ?”
Chantal : “J’ai eu la chance de pouvoir faire différentes formations qui m’ont permis de comprendre ce qu’est l’émotion, comment la gérer. Par contre, j’ai pris conscience d’une chose. Quelque fois, je veux aider quelqu’un d’autres, mais je ne le laisse pas assez d’autonomie. En fait, je sais pourtant que, l’autre a les ressources pour. J’ai compris que je le savais mentalement. Je pense que, pour les gens qui ne sont pas dans mon environnement proche, je leur demande :”comment tu pourrais faire, qu’est-ce qui serait bon pour toi”. Dans mon environnement proche, je suis plus dans l’aide :”de quoi tu as besoin, qu’est-ce que je peux faire pour toi.” Il y a eu une situation qui m’a fait prendre conscience de ça. J’ai compris qu’il fallait laisser cette personne allait chercher dans ses propres ressources.”
Globalement, Chantal a trouvé la semaine très agréable. Elle s’est sentie joyeuse pendant toute la semaine. Elle a choisi le centre de jeûne pour sa beauté, pour la mer, et pour les activités. La curiosité l’a ,alors, amené à faire ce séminaire.
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