Christine change totalement son hygiène de vie suite à une opération et des chimios pour un cancer du côlon.
Eric : “Comment ça va après sept jours sans manger ?”
Christine : ” Oui je vais bien, j’avais déjà expérimenté. Ce qui m’avait permis d’éliminer certaines peurs qu’on a du jeûne. Des peurs que nous avons mais aussi que les autres nous répètes à longueur de journée
Eric : “Qu’est-ce qu’on te dit ?”
Christine : “On me dit qu’on va mourir ! les gens trouvent que ce n’est pas raisonnable ! qu’il ne faut pas rester sans manger ou alors, que c’est impossible ! c’est déconseillé ! tout un tas de choses qu’on te véhicule. Néanmoins, une fois que ma décision a été prise… je suis comme ça… je prends mes décisions toute seul ! Donc je l’ai tenté quand même. Avec une amie la première fois qui en fait régulièrement. C’était bien aussi d’être accompagné. Quand il y a des petits passages où on ne se sent pas très bien et qu’on a envie d’arrêter. Ça m’a permis de traverser les difficultés et puis dans la foulé, on a programmé un séjour de jeûne hydrique avec ma fille. Du coup, c’était bien de le faire aussi avec elle, c’est toujours agréable. Ça nous a permis de nous rassurer.
Changement suite à un cancer du côlon.
Christine: “J’ai changé complètement après mon cancer du côlon. J’ai changé la façon de voir les choses, de m’alimenter, …C’est un long chemin car ça fait 13 ans mais les choses se sont mis en place petit à petit.”
Causes possible du cancer du côlon :
Le cancer du côlon est souvent lié soit à une constipation chronique ou à une alimentation intoxinante. Les nitrites (E250) utilisés pour conserver les aliments (charcuterie, viande, plats industriels…) se combinent avec le fer de la nourriture et forment des nitrosamines. Les nitrosamines cassent les cellules des intestins (entérocytes) qui se cancérisent sur la durée.
La peur du jeûne nous connecte à des mémoires cellulaires de morts de faim.
La peur du jeûne. C’est normal d’avoir peur du jeûne. Le fait d’arrêter de manger nous reconnecte à des mémoires collectives et ancestrales du manque. Certains de nos ancêtres sont morts de faim ou mort de maladie par manque de nourriture. Il y a eu famine et disette, ce qui d’ailleurs freinait le développement de la démographie. Rappelons ici ce qui se passe si nous faisons souffrir des souris et qu’a proximité de ces souris nous posons la couleur lilas et l’odeur du lilas. A chaque fois que nous présentons aux souris la couleur lilas et l’odeur du lilas les souris revivent le traumatisme au niveau corporel. Figurez-vous que les descendants de ces souris auront les mêmes traumatismes lorsqu’on leur présentera la couleur et l’odeur du lilas. C’est ce qui se passe au début du jeûne ou à l’idée du jeûner. Il nous faudra conscientiser et raisonner cette peur pour déprogrammer ces mémoires. Mettre de la conscience entre ce que l’on ressent et la réalité.
Christine fait une cure de jeûne hydrique avec sa fille
Eric : “Vous faites souvent des choses comme ça, toute les deux ?”
Christine : “On est très branchées là-dessus. donc oui souvent! On échangent des choses et donc c’est intéressant de venir à deux… On a beaucoup avancées sur l’alimentation, sur l’hygiène de vie et on a compris que les réponses ne sont pas chez le docteur. Pourtant j’ai une sœur médecin! La sœur avec laquelle je suis la plus proche, mais elle sait que je suis comme ça et que ce n’est pas la peine de me courir derrière avec un vaccin anti grippe. Après mon cancer elle avait le vaccin dans le frigo pour me le faire, j’ai dit :”Non ce n’est même pas la peine d’y songer”. C’est ma fille qui a choisi le thème mais j’ai beaucoup aimé le stage avec Hervé et Nadia, on a pu parler de choses et puis c’était intéressant car on étaient mère-fille, on a le même vécu donc c’est intéressant de voir certaines choses, faut mettre en pratique aussi, je pense que les choses vont se mettre en place, petit à petit, parce que maintenant on s’est dit les choses”
Christine à choisi le jeûne pour lâcher du mental
Eric : “C’est quelque chose que tu connaissais déjà ou que tu as découvertes”
Christine : “Il y a des choses que l’on a au fond de nous mais qu’on ne veut pas voir… Là, ça permet de mettre les choses en lumière, accepter, pardonner mais oui c’était intéressant. On ne voit pas le temps passer. La canalisation, c’est impressionnant ce qu’il dit de vérité. C’est tellement juste et le fait de verbaliser les choses avec ma fille, mon mari est décédé, il y a quelques années et du coup le fait de verbaliser certaines choses, ça permet de comprendre…et ça harmonise notre relation. Merci à toi et Amandine qui ont tous été présent durant le jeûne, c’est important”
Voir également.
Cure de jeûne et lâcher du mental
Planning des cures de jeûne hydriques
Nitrites de sodium responsables de millier de morts du cancer du colon