Antoine, Naturopathe et Myothérapeute expérimente le jeûne et nous explique la myothérapie. Il nous dit qu’il reviendra certainement refaire un jeûne avec Eric GANDON.
La semaine de jeûne d’Antoine.
Eric GANDON : “Comment ça va ?”
Antoine : “Ca va super, ce matin, on a eu le droit à une petite soupe. Ca m’a vraiment fait du bien.”
La raison de cette cure d’une semaine.
Eric GANDON : “Pourquoi faire un jeûne ?”
Antoine : “Je voulais faire une détox, je suis naturopathe, je connais bien la théorie du jeûne, et je voulais l’appliquer.”
Des symptômes de la crise curative sont survenus ?
Eric GANDON : “Est-ce que tu as eu des symptômes de crise curative ?”
Antoine : “C’était des douleurs plus importants dans les zones lombaires, des remontées acides, et des vomissements. J’ai pu reprendre l’eau, j’ai pu reboire après. Là, je suis au top.”
Antoine nous explique ce qu’est la myothérapie.
Eric GANDON : “Qu’est-ce que la myothérapie ?”
Antoine : “La myothérapie, c’est une technique ostéopathique centrée sur les muscles. C’est très efficace sur toutes les pathologies chroniques, je pense que ça se complète très bien avec le jeûne. On peut alors voir la migraine chronique, les algies vasculaires de la face, l’arthrose également se traite très bien, la fibromyalgie, la spondylarthrite, toutes ces pathologies “incurables” que l’on arrive à soigner avec ça. C’est le Docteur Jan Polak, qui est médecin, qui a inventé cette technique. Sur certaines pathologies, comme les migraines, on a quasiment des résultats à 100 % de réussite. Concernant la fibromyalgie, c’est tellement multifactorielle, que la simple thérapie ne suffira pas toujours. Au minimum, il faut s’attendre à 50 % d’amélioration avec la myothérapie. C’est un peu spécial pour les gens, car pour une personne qui aurait une sciatique, je ne toucherais pas le dos, on traitera que le cou et les chevilles, et les douleurs qui sont entre les deux, ce sont des douleurs projetées. Inutiles de traiter localement.”
Eric GANDON : “Merci en tout cas. Ca fait toujours plaisir d’avoir un collègue venir chez soi.”
Antoine : “Je reviendrais très certainement, merci à toi.”
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