Le jeûne une solution naturelle pour une bonne santé
« La science guérit de plus en plus de maladies, mais il n’y a jamais eu autant de malades… L’être sain non médicalisé devient une exception » Robert Masson, Naturopathe
« 4 maladies sur 5 sont des maladies dues directement ou indirectement aux excès de toxines du corps » Dr Guelpa
Comprendre la toxémie
La toxémie est le terme utilisé pour décrire les dégâts physiologiques causés par les toxines (extrait du livre de Nicole Boudreau, “Jeûner pour sa santé”).
On appelle « scories », les déchets liés à l’activité des cellules. Les scories sont des résidus hormonaux, des molécules incomplètes, des protéines dénaturées.
A mesure que l’individu vieillit, ses tissus deviennent de plus en plus chargés de scories, qui sont des matières inertes ; ce pourcentage passe de 50 % à 65 % vers l’âge de 50 ans. En général, les déchets protéiques sont métabolisés par le foie et éliminés par la peau et les reins. Mais lorsque le foie est endommagé, ces déchets ne sont pas tous détruits. Ils demeurent dans le sang, l’épaississent et le rendent plus visqueux. L’organisme tente alors de les éliminer en les liant aux globules rouges du sang, ce qui provoque une hausse indésirable du volume des globules rouges.
Les déchets peuvent également se fixer aux parois des vaisseaux capillaires et encombrer la circulation. Les vaisseaux capillaires sont six fois plus petits qu’un cheveu et ont des parois très fines. C’est au niveau de ces parois que se produisent les échanges entre le sang et les cellules. L’oxygène et les nutriments traversent cette paroi pour atteindre les cellules. Le sang y cueille les déchets produits par les cellules. Si la paroi des vaisseaux capillaires est épaissie par les déchets, l’échange des nutriments et des déchets entre le sang et les cellules est ralenti.
Les cellules mal nourries et dont les déchets ne sont plus drainés s’affaiblissent, et le tissu vieillit prématurément. De plus, le cœur doit pomper le sang avec plus de vigueur pour qu’il circule efficacement à travers les vaisseaux épaissis par les déchets. La tension artérielle augmente et le cœur s’use plus vite.
Identifier les signes de toxémie
Notre corps nous envoie des signaux. Il faut savoir les écouter et les reconnaître afin d’en éliminer les causes et de contrôler son état de santé.
Le meilleur moment pour s’ausculter soi-même est le matin. Pour ce faire, nous devons nous regarder dans la glace et faire un bilan de ce que nous voyons.
- De quelle couleur est la langue ? Violacée, épaisse, blanche, verdâtre, petite, tremblante…
- Comment sont mes yeux ? Rouges, blancs, jaunes, déchets dans le coin de l’oeil…
- Comment est ma peau ? Sèche, souple, épaisse…
- Comment sont mes cernes ?
- Comment est mon haleine ?
- De quelle qualité est mon odeur corporelle naturelle ?
- Comment sont mes selles ?
Si nous ressentons nettement le besoin de dormir encore et que nous éprouvons une sensation de lourdeur, la conclusion est sans équivoque : nous faisons partie du clan des personnes intoxiquées, dont les nuits de sommeil ne suffisent plus à résorber la toxémie.
D’autres indices nous instruisent sur le niveau de toxémie. Certaines personnes se lèvent avec entrain le matin, mais la fatigue réapparaît assez vite. Elles carburent alors à la caféine et mangent copieusement pour se ressaisir et se sentir énergique. Personnellement, il y a 10 ans encore, il me fallait le café le matin pour rester alerte, puis j’ai découvert que le café n’était pas très bon pour la santé, alors j’ai changé avec le thé vert. J’étais épuisé, après chaque repas il me fallait faire une sieste. Depuis que je pratique régulièrement le jeûne et une alimentation équilibrée, je ne consomme plus de thé, sauf lorsque j’ai des invités, pour l’aspect social de prendre une tasse de thé ensemble.
Les signes de toxémie sont très variables d’une personne à l’autre. Certains sont faibles quand ils ont faim, d’autres sont fatigués après avoir mangé. Un système digestif dévitalisé et dégénéré accomplit paresseusement ses fonctions digestives. Le mangeur se sent “bourré”, indisposé et dérangé par sa digestion. Il s’endort, éprouve une grande soif et éructe copieusement.
Enfin, certaines personnes n’ont jamais faim. Elles mangent à l’heure des repas “parce qu’il faut bien” et qu’elles en ont l’habitude. Elles ne ressentent pas la faim parce que leur organisme est engorgé depuis longtemps et qu’il ne réclame pas de nouveaux nutriments.
La toxémie et le besoin de jeûner se traduisent également par des troubles du sommeil, des points sensibles dans le dos ou dans divers organes du corps, des rhumes ou des grippes interminables, des problèmes de concentration, et même parfois des problèmes de dépression. Parce qu’un organisme intoxiqué n’est pas énergique, les problèmes de la vie courante peuvent paraître insurmontables.
Chez les femmes, les règles laborieuses, douloureuses, ainsi que l’ampleur du syndrome prémenstruel révèlent un engorgement des glandes et des vaisseaux utérins, provoqué par l’apport de toxines par voie sanguine. Les toxines accumulées dans l’utérus quittent celui-ci par la voie sanguine, et les règles sont irritantes.
C’est pourquoi il est recommandé de jeûner pour une femme qui souhaite enfanter. Cela permet au corps de se préparer avant la fécondation. De plus une femme qui fait cette préparation effacera ou diminuera les effets secondaires liés à la fécondation (vomissements, malaises…). Yannick Noah, ancien sportif et aujourd’hui chanteur, en parle dans une de ses interviews.
Enfin la toxémie peut se traduire par l’irritabilité émotive, les malaises articulaires, les caries dentaires, une faible résistance immunitaire, des problèmes de peau, une vision précocement affaiblie, des ongles et des cheveux ternes, des inflammations répétitives des mêmes organes du corps (otites, gingivites, diverticulites, colites).
Le Dr André Passebecq, auteur prolifique sur l’hygiène naturelle et chargé de cours en naturopathie à l’université française de Bobigny, décrit avec minutie les “sonnettes d’alarme” qui révèlent l’état toxémique qui n’est pas la maladie, mais “l’état de pré-maladie”.
Les signes subjectifs
Frilosité ou bouffées de chaleur, étouffement, fatigue persistante, douleurs diverses, troubles articulaires, migraines, démangeaisons, courbatures, mélancolie, irritabilité, nervosité, dépression, anxiété, insomnie, flatulences, mauvaise digestion, réduction de l’appétit, crises de larmes, oppression, disposition aux névroses, pertes de mémoire, diminution de la volonté et du tonus mental, refus de l’effort, chute de la virilité, frigidité, impression de “tête vide”, réduction de l’acuité visuelle et auditive.
Les signes objectifs
Les signes morphologiques
Teint jaunâtre et “brouillé”, acné et autres troubles légers de la peau, yeux sans éclat et cernés ou au contraire trop mobiles et “nerveux”, diminution des lunules des ongles, épilation de la face externe des mollets, traits fatigués, positions debout et assise relâchées, bouffissures du visage, langue chargée, transpiration accrue (notamment paume des mains et plante des pieds), yeux larmoyants.
Les signes graphologiques
Écriture ralentie ou “nerveuse”, saccadée, hachée, pochée, molle, tordue, aux lignes descendantes, etc.
Les autres signes
Toussotements, crachats plus abondants, menstruations déréglées, pertes vaginales, mauvaises odeurs corporelles, urines troubles et chargées, haleine forte, tendance à grossir ou à maigrir.
Chaque personne est unique et présente des signes de toxémie différents de ceux de son voisin. Mais, quelles qu’en soient les manifestations, tout état toxémique se corrige pendant le jeûne, car tous les tissus et les organes du corps qui fonctionnent encore peuvent se régénérer et se détoxiquer.
Pour en savoir plus, lire le livre de Nicole Boudreau : “Jeûner pour sa santé”.
Comment détoxiner ?
La manière la plus simple et la plus efficace pour détoxiner un corps est le jeûne ou la restriction calorique.
Voir plus ici :
symptôme inhabituel durant le jeûne.
Bonjour,
Je pratique le jeûne comme outil de santé depuis de nombreuses années, non accompagnée mais très documentée. Je tiens d’ailleurs à vous remercier pour la qualité des information contenues dans votre site qui est d’après moi un site de référence sur le jeûne et sa pratique et que je recommande tant pour ses informations que pour ses séminaires.Je suis en bonne santé générale, très fatiguée avant les vacances scolaires mais déjà bien reposée depuis mi juillet.
Je suis actuellement en période de jeûne, 10ème jour, tout se passe très bien, pas de signes particulier que je ne connaisse ou dont je ne comprenne pas l’origine si ce n’est une hyperacidité gastrique depuis 5 jours que je ne comprends pas. Auriez vous une explication ou un conseil à me donner?
Très cordialement,
Sylvie
Vucic —
Bonjour Sylvie;
Bravo pour votre jeûne. En effet, il arrive d’avoir des acidités gastriques pendant la période de jeûne. Essayer de prendre du Bicarbonate de soude (alimentaire) dans un verre d’eau tiède. 2 c à c. C’est la plupart du temps très efficace.
Bonne journée.
Bonjour Éric, je me demande à quoi sert-il de mettre un peu de sel dans la pochette à lavement ? Et quel genre de sel , du blanc raffiné ou du sel gris ? 18 gr. pour une poche de 2 litres d’eau me semble t-il ?
Bonjour Sophie,
Il faut utiliser du gros sel. Le sel permet de mettre l’eau isotonique. Il faut 9 grammes de sel par litre pour être à la même densité que le sang. Ainsi l’eau reste dans les intestins et ne passe pas la paroi intestinale. cela permet un meilleur nettoyage et évite une déminéralisation par lessivage intestinal.
Bonjour Éric.
J’ai une petite question. Que pensez-vous des cataplasmes d’argile verte interne et externe. Peut-on le faire pendant le jeûne ? Merci
Claire
Bonjour Claire,
Oui absolument, c’est tout à fait possible.
Bonne soirée,
Eric
Bonjour,
Je tiens avant tout à vous remercier pour ce site richissime d’informations.
Grace à vous, j’ai décidé de me lancer dans un jeune court (3 jours), avec l’intention de continuer jusqu’à 7 jours si tout se passait bien 🙂
Je ne suis pas novice de cette pratique car, depuis 3 ans environ, je pratique quotidiennement une sorte de jeune intermittent (en réalité je ne mange que le soir).
J’était en obésité presque morbide (120 kg pour 1,70 m). Aujourd’hui je pèse 100 kg 🙂
Depuis le début du confinement, j’ai pratiqué beaucoup de sport mais (honte à moi), j’ai consommé régulièrement du cannabis (pendant mes longues balades en forêt).
Je suis donc au troisième jour de jeune et tout ce passe à merveille… Aucune sensation désagréable, aucune sensation de faim… J’ai remarqué ce matin que, sur les côtés, mes iris présentent une pigmentation jaunâtre… Impossible vous dire si je l’avait avant le début du jeûne.
On m’a toujours dit que les yeux jaunes ”c’est le foie qui travail, qui est surchargé”.
Voici ma question: dois-je arrêter le jeune? Si non, que dois-je faire pour réguler cette élimination hépatique?
Je vous remercie par avance.
Bien à vous tous qui me lisez,
Sigma
Bonjour Sigma,
Oui en effet c’est le foie, non il ne faut pas s’inquiète. Soit vos yeux redeviendront blancs dans le jeûne quand votre foie ira mieux soi cela se rétablira après le jeûne. Il se peut que vous avez la maladie de Gilbert que vous ne le saviez pas. Il n’y a rien à faire, sauf de maintenir une bonne hygiène de vie après votre jeûne.
Tester ici votre hygiène de vie.
Rejoignez nous en visioconférence et profiter de votre jeûne pour apprendre.
Eric
Bonjour, je suis au 4ème jour d’un jeûne hydrique et hier j’ai commencé la crise d’acidose : maux de tête, nausées mais surtout douleurs quasi insupportables dans le bas du dos à tel point que je n’ai pas dormi de la nuit. J’ai fini par prendre un verre de smoothie dilué dans de l’eau en espérant que ça fasse baisser les douleurs. Aujourd’hui les douleurs sont encore là même si très légèrement plus supportables. J’ai encore repris un verre de smoothie dilué ce matin pour voir si cela pourrait faire passer cette crise car je ne veux pas arrêter mon jeûne mais moi qui ne suis pourtant pas douillette, ces douleurs sont extrêmement intenses. Pensez-vous que cela soit normal ? Ces douleurs pourraient-elles être révélatrices d’un problème sous-jacent ? En vous remerciant d’avance pour votre avis éclairé.
Bonjour Valtroit, le terme crise d’acidose veut dire acidification du sang. Si votre sang s’acidifiait vous seriez dans le coma. En réalité le bon terme est “crise curative”. Se sont les muscles du psoas qui font mal. Avez-vous fait les lavements. Il faut prendre du Dolonature et cassis bourgeon pour apaiser la douleur, faire des massages… mais surtout mieux préparer votre jeûne.
Tester ici votre hygiène de vie.
Voir ici pour un accompagnement.
Bonjour Eric,
J’ai pris le temps de bien lire les nombreuses informations et posts sur vote site concernant le jeûne. Merci pour toutes ces informations.
Je vous écrit car je suis légèrement inquiet concernant certains symptômes que j’ai depuis le soir du premier jour de mon jeûne. Dès le premier soir, j’ai commencé à avoir des douleurs sciatiques ou plutôt un début de crises de sciatalgie donc une douleur particulièrement présente dans les fesses et irradiant le bas du dos ( mais très localement donc autour des premières lombaires ) et l’arrière des cuisses. Je suis sûr qu’il ne s’agit ni du psoas ni de douleurs musculaires car les douleurs nerveuses et particulièrement la sciatalgie, se différencient facilement.
Ce qui me préoccupe est que ces douleurs surviennent très tôt dans mon jeûne et m’empêche de dormir tellement elles sont fortes et omniprésentes. Il n’y a aucune position qui me soulage en étant allongé. les positions allongées sont les pires.
Je ne comprends donc pas absolument pas pourquoi ces douleurs surviennent et même si elles étaient déclenchées par le jeûne, ce dont je suis convaincu, je ne comprends pas pourquoi elles surviennent si tôt ! Le soir du 1er jour, on est loin de la crise curative et pour tant ces symptomes sont très aigus et violents ! Je ne peux rien faire de la journée, je me sens complètement bloqué et c’est omniprésent. Aucune étirement, yoga ou pratique ne me soulage.
Je connais pourtant très bien mon corps, je suis artiste de cirque et danseur donc j’ai une bonne conscience corporelle, hygiène corporelle et physique et je connais mon corps mais là je suis subjugué et comme paralysé. Je ne peux rien faire, cela me prend toute mon énergie et mon focus. Impossible d’aller marcher plus de 30 minutes.
Que puis-je faire ?
Est-ce normal d’avoir ce type de symptomes très puissants dès le soir du 1er jour ?
(sachant que le 1er soir, ils étaient plus doux et j’ai tout de même pu dormir presque correctement cette nuit là )
En revanche ma nuit d’hier a été insupportable. impossible de trouver le sommeil pendant de heures car il est totalement impossible de trouver une position sans douleurs permanentes dans un lit. Je n’ai dormi que 2 heures puis réveillé par la douleur et obligé de me lever car cela devient insupportable.
Le jeûne peut-il réveiller des douleurs aiguës de sciatique ?
J’ai bien cherché sur le net mais je n’ai rien trouvé mis à part deux posts de personnes ayant eu des symptomes similaires mais à l’arrêt du jeûne et il n’y avait pas d’informations complémentaires à ce sujet. Je suis donc assez inquiet et il m’est impossible de vivre ce jeune sereinement et de profiter pleinement de cette expérience.
Après, s’il s’agit d’un nettoyage nécessaire provoqué par le jeûne, je suis d’accord pour le traverser mais c’est bien plus qu’inconfortable. Je ne suis pas douillet mais cela fait 2 jours que j’ai cette douleur permanente et j’aimerais savoir si cela fait partie du process.
J’ai pourtant bien fait ma descente et je ne suis pas sujet aux crises de sciatalgie aigues.
La seule fois où j’ai une crises de sciatalgie très aigues, c’était lors de mon précédent jeûne. C’était mon 1 er jeûne, il y a 2 ans mais qui avait été mal préparé. Je n’ai fait que 3 jours et dès le 1er soir, il me semble, j’ai fait une crise de sciatalgie couplé à une crise de cruralgie sur les deux jambes et cela a duré plus de 4 nuits donc approximativement 5 jours non stop. Je n’ai pas dormi pendant 5 jours, impossible. C’était l’enfer !
Est-ce possible que le jeûne soit en train de nettoyer cela ?
Ce que je ne comprends pas, c’est que cela nettoie le sang donc peut avoir un impact fort sur le système musculaire via des crampes, des courbatures ou autres douleurs ou gênes mais la sciatalgie et la cruralgie dépendent du système nerveux.
Donc comment le jeûne pourrait-il déclencher cela ?
Dois-je laisse faire et continuer de vivre ce calvaire pendant les prochains jours ? (j’ai prévu de faire 6 ou 7 jours )
Je préfèrerais largement avoir des vomissements, des migraines ou tout autre symptomes que celui-ci.
Je suis également totalement fatigué mais cela ne m’inquiète pas.
Je suis en bonne forme physique, 1m88 pour 77kg (au début du jeûne )
Ma descente s’est très bien passée. Je ne consommais plus de céréales depuis plus de 10 jours avant le début du jeûne et je consommais essentiellement des légumes et fruits crus et des jus de légumes. La seule chose que j’ai dû arrêter est le Maté que je bois quotidiennement depuis des années.
Merci d’avance pour vos conseils et vos réponses !!
Car là, je suis un peu perdu et à cause de ces douleurs omniprésentes et très fortes, ce n’est vraiment pas évident de tenir le cap. toute mon attention est mobilisée dessus.
Bien à vous,
T.
Bonjour, je viens de terminer un jeûne de 5 jours. Je l’ai entamé pour diminuer des douleurs gastriques dûes à hélicobacter pylori. Les premiers ont été plutôt agréables, je n’ai pas ressenti de sensation de faim. Mais le 3ème j’ai ressenti un affaiblissement et de violentes nausées que je ne parviens pas à calmer malgré la reprise alimentaire. Même l’eau est difficile à avaler.
Auriez-vous un conseil pour moi?
Merci beaucoup
Bonsoir Sabrina,
Il faudrait connaître ce que vous mangez. En attendant il faudrait prendre des huiles essentielles pour l’hélicobater et du jus de pomme de terre cru pour la muqueuse stomacale. Bonne soirée,
Eric
Bonjour
Jai subi une embolisation des arteres uterines suite à un fibrome que lon devait m’enlever.
Depuis jai un endomètre très fin dû à mon opération. Donc difficile d’avoir un enfant. Est il possible de faire un jeun hydrique afin de faire pousser ma muqueuse uterine. Merci beaucoup
Bonjour Camille,
Je tenterais de stimuler la production de testostérone. Elle aide à amélioré peau et muqueuse. C’est un changement globale en hygiène de vie et un travail sur plusieurs mois.
Bonjour
Merci pour votre réponse.
Comment stimuler la testostérone pour faire repousser une muqueuse uterine.
Quels sont vos conseils ?
Merci
Nana,
Je vous recommande une consultation ou mieux un accompagnement pour mettre cela en place. En gros il faut faire baisser l’insuline et le cortisol souvent trop élevé, cela laisse place à la testostérone. Puis stimuler la testostérone par le jeûne, l’alimentation, les bains froids, les lavements, l’homéopathie…
Merci pour votre réactivité.
Jai rempli un questionnaire pour une future consultation téléphonique avec vous pour voir comment mettre cela en place.
Je devrai être appelé mardi prochain(matin)
Belle journée
Bonsoir Nana,
Je ne vois pas de questionnaire de mon côté. Le mieux est de me contacter au 0980475068 ou de prendre une consultation ici :Consultation en naturopathie. ou un accompagnement ici : accompagnement à la naturopathie.