Le jeûne et le cancer du sein

Guérison d’un cancer du sein phase terminale, métastasé foie et os.

Éveline, 57 ans, a accepté de témoigner de sa pratique du jeûne hydrique. Pratique qui, incorporée dans une hygiène de vie globale, lui a rendu sa santé alors qu’elle était condamnée par le corps médical aux soins palliatifs (c’est-à-dire à des soins d’accompagnement à la fin de vie).

En 2005, Éveline est atteinte d’un cancer du sein. A cette période, elle ne connaît pas encore la pratique du jeûne. Après un traitement classique incluant de la chimiothérapie, de la radiothérapie, une ablation partielle et de la médicamentation, son cancer est stabilisé… jusqu’en 2013, où lors d’un examen sanguin, on lui soupçonne une récidive. Après des examens complémentaires, on lui détecte, en effet, des tumeurs sur trois nouvelles zones : foie, poumons et os de la hanche.

Cancer inopérable et soin palliatifs pour l’accompagner en fin de vie.

On lui annonce que ce cancer est inopérable, qu’on lui prescrira une chimiothérapie de six séances et, à la suite de la chimiothérapie, des soins palliatifs pour l’accompagner dans sa fin de vie. Par chance, plusieurs de ses amis, qui ont aussi eu des cancers, lui parlent du jeûne et de ses effets positifs sur les maladies, et notamment sur le cancer. En effet, le jeûne commence à cette époque à être temporairement médiatisé  dans les traitements anticancéreux naturelles et la prévention des maladies.

Après s’être renseignée sur les différents types de jeûne existants, et s’être informée sur ceux qui sont le plus efficaces dans le cadre des cancers, Éveline découvre le travail d’Eric Gandon et choisit alors de se lancer dans le jeûne hydrique avec la formation au jeûne Eric Gandon.

Éveline jeûne durant les séances de chimio.

Ainsi, Évelyne, pour potentialiser sa chimiothérapie, a accompagné chacune de ses six séances par le jeûne hydrique, en jeûnant quelques jours avant, pendant et après. Puis, à la suite de sa chimiothérapie, entre 2014 et 2015, elle a également, jeûné 7 jours, 21 jours puis 28 jours en cure de jeûne en groupe et en accompagnement à distance.

5 ans après Éveline est toujours en bonne santé

Au moment du témoignage, voilà 5 ans qu’Éveline est en bonne santé. Elle est stabilisée. Lors de la prise de sang qui avait suivi son jeûne de 21 jours, les métastases avaient diminué. Puis, lors de celle suivant son jeûne de 28 jours, les métastases avaient disparu et son bilan sanguin était redevenu normal. Aujourd’hui, Éveline est suivie et en bonne santé. Si elle n’ose pas se dire guérie, elle est heureuse d’avoir déjà gagné 5 ans de vie en bonne santé. Et on lui souhaite encore de belles années. Pour Éveline, ces résultats ont été permis grâce à la combinaison de plusieurs facteurs : le jeûne de façon évidente, une révision de son alimentation sans dénutrition et la force du mental. En effet, il a été important pour elle de ne pas se considérer comme malade mais comme quelqu’un qui a un problème de santé qui peut se soigner. Son alimentation n’est pas un régime restrictif, mais une alimentation saine, équilibrée et frugale, comme enseigner dans les cures de jeûne hydrique Eric Gandon.

Depuis, le jeûne fait partie intégrante de sa vie. Elle jeûne 2 fois quatorze jours par an. Les période de jeûne sont devenus un temps indispensable à son hygiène de vie et à son confort moral. « Un temps pour être en harmonie avec soi » nous partage-t-elle.

En effet, lors de sa formation au jeûne avec Eric Gandon, le jeûne fait partie d’une remise en question profonde et pérenne de nos habitudes de vie (alimentation saine, biologique et qui donne du plaisir) et aussi de nos habitudes de pensées.

Il faut savoir aussi que le cancer du sein est hormonaux-dépendant et des études montrent que les perturbateurs endocriniens qui nous environnent tout comme les pesticides contenus dans l’alimentation des animaux que l’on mange, contenus dans les fruits, les céréales et les légumes que l’on consomme, favorisent le terrain pour ce type de cancer (sein, prostate, cerveau…). Il est donc important d’avoir une vision globale et préventive de notre santé.

Pour en savoir plus : voici le témoignage vidéo d’Eveline et les questions-réponses avec Eric Gandon.

Vidéo ci-dessous : témoignage d’une jeûneuse dans le cas d’une chimiothérapie.

Les cellules saines sont mieux protégées lorsque l’on jeûne 3 jours avant la chimio puis pendant la chimio puis 2 à 3 jours après. Les effets secondaires en sont nettement diminués. Il faut adapter selon les réserves pondérales et renforcer le système immunitaire entre les jeûnes avec une alimentation frugale, digeste et équilibrée. La restriction calorique ne veut pas dire dénutrition. Le conseil est de manger une alimentation équilibrée et digeste. Une alimentation bien digérée renforce l’organisme une alimentation mal digérée pollue l’organisme. Sortir de table avec une légère faim stimule le système immunitaire et prolonge la vie, comme nous l’enseigne les centenaire de l’île d’Okinawa. Un régime restrictif n’est pas souhaitable car il peut fatiguer et carencer l’organisme sur le long court. Néanmoins une alimentation frugale, équilibrée, préparée par vous-même en conscience devient votre médicament. “Fait de ta nourriture ton médicament” Hippocrate.

Le cancer se développe lorsque la cellule manque d’oxygène. Ce serait une façon naturelle qu’a trouvée la cellule pour survivre dans un corps trop  intoxiné. L’oxygène n’arrive plus à parvenir à la cellule à cause d’une lymphe trop chargée en toxines, pesticides et en produits de synthèse. La cellule, pour continuer de fabriquer de l’énergie, fermente le glucose et produit de l’acide malolactique. Cet acide casse les maillons de l’ADN et provoque alors une mutation de la cellule. L’ADN de la cellule étant cassée, la cellule perd la connaissance et ne reçoit plus les informations provenant des autres cellules, elle devient anarchique.

« Il n’y a plus de pilote dans la cellule, c’est l’anarchie cellulaire ! »

Vous trouverez également dans l’article « le jeûne, thérapie pour cancer », les explications scientifiques de Valter Longo. Il explique simplement mais avec preuves à l’appui, comment le jeûne peut prévenir ou même aider la guérison du cancer.

Vous découvrirez que lorsque l’on jeûne, les cellules cancéreuses, sous l’effet du stress dû au jeûne, meurent, alors que nos cellules saines, au contraire, se protègent et vivent très bien. Les cellules cancéreuses n’ont pas la capacité de s’adapter à un corps qui jeûne. Pour les cellules cancéreuses le jeûne est un cauchemar !

Voir l’article : le jeûne thérapeutique et cancer.

Les mêmes informations sont données également dans le magazine Science et Vie. Le jeûne une arme contre le cancer.

Centre Val Sante – Jeûne / Cures : Témoignage de jeûne
Cancer du sein agressif / Perte de poids / Ménage du corps et de l’esprit http://www.valsante.qc.ca

Margarita jeûne en prévention d’un cancer.

Résumé

Pour ceux qui aiment faire court : “La cellule saine se met en mode protection sous l’effet du jeûne, la cellule cancéreuse a perdu cette faculté. La cellule saine résiste bien au jeûne, la cellule cancéreuse supporte mal le jeûne et donc disparaît sur la durée. Cet effet est accéléré par la chimiothérapie qui n’atteint pas la cellule saine lorsque nous jeûnons, mais qui tue la cellule cancéreuse”.

Questions et commentaires

Vous retrouverez ici les questions et commentaires les plus fréquents sur le jeûne et cancer. Vous pouvez poser vos propres questions ou partager vos propres expériences dans l’espace commentaire plus bas.

Comment faire face à l’annonce d’un cancer ?

Lors de l’annonce d’un cancer, une émotion est déclenchée. Cette émotion est souvent celle de la peur. La peur de mourir, la peur de la maladie, la peur de l’inconnu. Il est conseillé de prendre du temps pour accueillir et observer les émotions déclenchées par cette annonce. Selon votre mode d’accueil émotionnel il faudra peut-être aller respirer et marcher dans la nature, ou en parler à une personne ressource, une personne capable de vous accueillir dans votre détresse. Idéalement il vous faudra pratiquer une technique de libération émotionnel. Soit la respiration consciente, soit le sport, E.F.T, , sophrologie, hypnose ou l’E.M.D.R… il existe une foule de méthodes, trouvez la vôtre, jusqu’à vous sentir en paix avec ce qui vous est annoncé.

Une fois le message de l’émotion accueilli et votre corps apaisé. Transformer la peur en motivation. La peur de mourir c’est une un désire de vivre. Utilisez cette émotion comme moteur pour passer à l’action. Une émotion est un besoin de passer à l’action. Prenez connaissance des 9 clés de guérison du Docteur Kelly Turner. Vous trouverez qu’une des clés est de prendre sa santé en main. Cela veut dire abandonner l’idée qu’il existe un sauveur extérieur. La seul personne apte à vous sauver est vous-même. Vous devez bien sûr tenir compte des conseils des médecins et thérapeutes, mais rester centrer sur vous et ne pas chercher à déposer votre problème de santé, comme on pourrait déposer une valise indésirable, chez un sauveur extérieur. S’abandonner à un sauveur extérieur, c’est abandonner sa souveraineté, c’est ce soumettre à un processus extérieur. La soumission contraint le corps et réduit ses capacités d’auto-guérison, la souveraineté dynamise le corps vers l’auto-guérison.

Le cancer se développe dans un organisme pour une ou plusieurs raisons. Faites vous aider pour comprendre les causes possibles du cancer. Une fois les causes trouvées, il vous reste à corriger, changer, rectifier, ce qui est la cause de la maladie. Même si on choisit la chirurgie, ou la chimio, si on ne comprend pas les causes de la maladie, il est possible que le cancer récidive ou qu’une autre maladie apparaisse car les causes du désordre non pas été entendus et traités.

Comment affamer son cancer ?

Le jeûne hydrique est un excellent moyen pour affamer le cancer. En effet d’après les recherches du Docteur Valter Longo, les cellules cancérigènes ne savent pas s’adapter au stress lié au jeûne. Elles n’ont pas dans leur code génétique la recette pour se nourrir de corps cétonique. De plus les facteurs de croissance tel que l’IGF1, dont elle à besoin pour sa croissance, disparaisse avec le jeûne. La cellule cancéreuse est donc affamé par un manque de glucose et de facteurs de croissance. Par ailleurs le corps, dont le système est en recherche de nourriture pour substituer au manque de nourriture provenant du système digestif, mettra en place l’autolyse.  Les observations montre que l’autolyse se fait en priorité sur les parties cancéreuses. Non seulement la cellule cancéreuse est affamée mais elle est en plus utiliser comme substitue de nourriture. Comme l’exprime Valter Longo, pour une cellule cancéreuse, le jeûne est un cauchemars.

Comment jeûner avant chimio ?

Le jeûne est très efficace pour mieux supporter la chimio. Nos conseils a ce sujet est de bien connaître le jeûne et de s’entrainer à pratiquer le jeûne avant la chimio. De cette façon vous faites bien la différence entre jeûne sans chimio et le jeûne avec chimio. L’objectif a terme est de pouvoir jeûner pendant la chimio. Comme le démontre Le docteur Valter Longo, lorsque l’on jeûne pendant la chimio, les cellules saines sont préservées et seul les cellules cancéreuses sont atteintes par la chimio. C’est une façon de mieux cibler la chimiothérapie. Pour que cela fonctionne il faut jeûner 3 jours avant la chimio, la jour de la chimio étant en fin du 3ième jour. Soit 72 heures. Ainsi, si votre chimio est prévue le mercredi 14 heures, il est bien de commencer le jeûne le dimanche d’avant. Votre dernier repas de descente alimentaire est pris à 13 heures le dimanche, puis un jeûne hydrique le dimanche soir, le lundi toute la journée, le mardi, le mercredi. Les effets de la chimio perdures au moins deux à trois jours. Il est donc bon de maintenir le jeûne deux jours après la chimio. Dans notre exemple, il est bien de continuer le jeûne hydrique le jeudi, le vendredi et de faire la remontée alimentaire à partir du samedi matin. Si votre poids descend trop vite et si vous êtes frileux, je conseille de prendre de l’eau de Quinton isotonique durant le jeûne, ou de pratiquer Amarolie, ou des soupes d’oignons et ortie. Si la fréquence des chimiothérapies est hebdomadaire il ne vous sera pas possible de jeûner toutes les semaines, sauf si vous avez beaucoup de réserves pondérales. Si les chimios sont une fois par mois, il devrait-être possible de jeûner 7 jours tous les mois. Afin d’éviter la dénutrition avec toutes ces périodes de jeûne, il est recommandé de manger entre les périodes de jeûne une alimentation saine et équilibrée (crudités variées, féculent et protéine animale). Le jeûne n’affecte pas la masse musculaire, mais le manque d’exercice dû à la fatigue ou la sédentarité  affecte la masse musculaire. Il faudra continuer de s’activer physiquement surtout en dehors des périodes de jeûne pour maintenir la masse musculaire.

Est-ce que le jeûne guérit ? Le jeûne peut-il guérir ?

Comme l’explique très bien le professeur Valter Longo. Il n’existe rien de plus efficace que le jeûne en cas de cancer. Le professeur Valter longo explique même que si Big Pharma inventait un cocktail de molécules qui traiterait la cancer, la durée de vie moyenne gagnée sur les patients atteints de cancer ne serait que de trois ans. Alors que si on enseigne le jeûne aux gens, le gain moyen en durée de vie est de 30 ans et plus.

Comme nous le montre de Docteur Kelly Turner, il existe de nombreux cas de malades du cancer en phase terminale qui guérissent sans traitement médicamenteux et sans jeûne. On découvre alors qu’il n’y a pas que le jeûne qui est important, mais également l’engagement du patient dans sa guérison. Retrouver ici les 9 clés de guérison du docteur Kerry Turner. Neuf Clés de guérison de Kerry Turner.

Pour une approche optimale de la santé en cas de cancer, nous recommandons la pratique du jeûne hydrique et la mise en œuvre des 9 clés de guérison de Kelly Turner.

 

Jeûne effets indésirables.

Lorsque l’on jeûne on met le corps dans une situation extrême qui stimule le retour à la santé mais qui est source d’inconfort. les désagréments du jeûne peuvent être considérés comme des symptômes liés au jeûne ou des effets indésirables du jeûne. Dans 95 % des cas ces effets indésirables sont temporaire et sans danger. Ils sont les signes de la détoxination et d’un corps qui brûle du glucose vers un corps qui brûle des corps cétoniques. Néanmoins ils s’apparentent à des symptômes de maladies et de fatigue aussi il est légitime de se demander si c’est normale ou si il faut s’inquiéter. Retrouver ici une vidéo qui explique les effets indésirables les plus fréquents.

Jeûne intermittent et cancer.

Le jeûne intermittent est excellent en prévention du cancer. Il pourra aussi être mise en place pour soutenir le retour à la santé entre des périodes de jeûne hydrique de longue durée. C’est une bonne méthode pour prolonger le travail réalisé avec le jeûne longue durée. Si le jeûne intermittent n’est pas possible alors il est conseillé de faire 5 à 7 jours de jeûne hydrique ou diète à l’ortie tous les mois. D’après les travaux du professeur Valter Longo, le jeûne de 5 à 7 jours par mois recule l’apparition des tumeurs cancéreuses. Voir plus ici : Bienfaits du jeûne.

Jeûne thérapeutique cancer. Régime restrictif, jeûne au jus, Jeûne hydrique et cancer.

Oui le jeûne hydrique est excellent pour la santé, ainsi le jeûne hydrique devient thérapeutique. Qu’il soit hydrique, sec, au jus ou une simple restriction calorique il y aura des effets bénéfiques sur la santé pour une personne qui ne souffre pas de dénutrition. La pratique régulière du jeûne hydrique un jour par semaine ou 7 jours par mois permet de diminuer les facteurs de risque de cancer d’après le professeur Valter Longo. Lorsque la maladie est installée on peut tenter de la faire reculer la maladie par des périodes de jeûne plus longues si les réserves pondérales le permettent. Voir plus d’informations sur le jeûne thérapeutique ici : Jeûne thérapeutique.

Le jeûne et le cancer de la prostate.

Oui on observe une efficacité du jeûne sur le cancer de la prostate. Vous retrouverez ici plusieurs témoignages de patients qui traitent leur cancer de la prostate avec le jeûne. Jeûne et cancer de la prostate.

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