Étiqueté : fertilité, infertilité, ovocyte, procréation
- Ce sujet contient 4 réponses, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par aa, le il y a 4 années et 8 mois.
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25 mars 2020 à 11 h 36 min #45755aaParticipant
Fertilité…
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La fertilité est aujourd’hui un problème, non seulement l’age des parents (futurs parents) augmente – l’infertilité aussi.
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Nul doute que les problèmes de fertilité touche autant les hommes que les femmes. Néanmoins les débuts d’une vie semble dépendre grandement de la femme qui a un temps reparti moins important qu’un homme qui potentiellement peut concevoir durant sa vie adulte entière.
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La relative infertilité d’une femme qui est conseille de faire un suivie PMA resulte (si admis) dans des traitement hormonaux de stimulation, et des tentatives plus ou moins lourdes avec des interventions en clinique ou hopital. Si ces essais s’avèrent infructueux – les medecins envoient les espoirs des futurs parents (ou non) vers l’étranger et des procedures difficiles – le don d’ovocyte dans notre cas.
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Chaque femme est programmé pour donner la vie, et d’en être privée est vraiement traumatisant et,,, stressant.
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A la fin d’un suivie PMA avec des nombreux stimulations et implantations – la femme surtout est laissé lourdement médicalisé et déprimé (si resultats négatives – le plus grand pourcentage). De surplus, cette situation interviens après une demarche parfois longue – trois ans dans notre cas.
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Comment redonner éspoir à une femme avec une procedure PMA infructueux, et un age à la limite des frontières feminin pour la conception?
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* avec ma compagne, nous sommes venus au projet de conçeption relativement tard, et le premier reflexe est d’emprunter la voie naturelle pour commencer ce qui peut durer une certaine periode car quelques cycles ne suffisent normalement pas avant de vouloir consulter un professionel et avoir un avis. Ma compagne avait 36 ans au début de notre projet de devenir parents, et 5 gynecologue et multes tentatives plus tard elle a 42 ans et déprimé et – je le crains – intoxiné par l’ensemble de ces procedures. Je suis personellement à mone deuxième jeune entrepris pour des problemes de digestion, mais mon engagement dans ce sens holistiques a du mal à convaincre dans le sens de notre projet de conçeption25 mars 2020 à 12 h 21 min #45760Eric GandonMaître des clésMerci Monsieur. Vous pouvez aussi consulter cette page : Bien préparer une grossesse avec le jeûne.
25 mars 2020 à 12 h 45 min #45768aaParticipantEn effet, j’ai bien lu la page et aussi vu la vidéo sur comment préparer une grossesse en 26 jours. C’est de l’information important.
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Mon post ci-dessus concerne plus la phase d’une possible guérison avant de pouvoir entreprendre des préparations. L’infertilité est une condition vraiment difficile, et avant de pouvoir se préparer à la conception – rien que d’avoir esprit de pouvoir être fertile est difficile. Et bien sûr, après des années en suivie allopathique entre hôpitaux, gynécologues, médicaments et faux espoir de retrouver la possibilité de concevoir, il y a un monde.
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Soigner les échecs en allopathie et PMA, retrouver un semblant de fertilité sont des problématiques énormes pour des femmes comme par exemple ma compagne qui serait incommodé de prendre les informations d’une femme en cours de conception – car sa douleur est justement de ne pas avoir cet espoir*.
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* il faut rajouter que les gynécologues allopathiques n’ont pas aidé en expliquant que ses chances sont quasi-nulles, et que seul un voyage en Espagne ou Europe de l’est puisse lui donner espoir – avec un ovocyte étranger,,,25 mars 2020 à 12 h 56 min #45775aaParticipant[ pour aller plus en détail, mon idée de la santé holistique serait qu’il n’y a pas de femme infertile – uniquement de facteurs qui empêche la fonction normale qui est de propager la vie. Les particularités qui amènent autant de femmes à se retrouver avec une mauvaise qualité d’ovocytes et de faculté d’implantation d’embryon devrait avoir au moins certains causes communes (?). Pour avoir des problèmes de conception approchant la quarantaine, les questions sur la possibilité de concevoir en âge avancé (pour une femme) se pose également. Je suis un homme et je ne peux ressentir cette urgence psychique et physiologique qu’habite une femme quand elle approche son “dead-line”. Qu’en est-il ? Une femme en excellente santé, quelles sont ses limites pour la conception ? Peut-on objectivement espérer retrouver la fertilité à 42 ans en sachant qu’à 36 ans c’était déjà pas possible ? ]
26 mars 2020 à 10 h 23 min #46030aaParticipantLa “qualité” de l’ovocyte.
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En consultation PMA (procréation médicalement assistée) et gynécologue, les professionnels ne cessent de répéter l’état de dégradation de l’ovocyte chez la femme après ses 20 ans.
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Qu’en est-il ?
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De manière instinctif, c’est difficile de concevoir que la femme à la base produit des ovocytes/enfants d’une qualité qui diminue au fur et à mesure de son age. Quand on pense à la toxémie générale de la population moderne, on est tenté penser que la qualité moindre constaté de la qualité ovocytaire soit plus un facteur de mode de vie que d’une réalité biologique. -
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