Valérie jeûne pour mincir. Elle repart avec des outils de développement personnel et décide de manger uniquement une fois par jour.
Le jeûne de Valérie.
Eric GANDON : “Comment ça va ?”
Valérie : “Ca va bien, c’est le départ. J’ai de la tristesse, parce que l’ambiance était tellement formidable. J’ai tout fait, j’ai fait toutes les activités, j’ai eu de la chance, car j’étais en forme. Concernant la crise curative, j’avais un peu de nausée, mais c’est vite passée. J’ai adoré tous les ateliers, étant donné que l’on était dans la semaine de mincir durablement, je me suis inscrite spécialement pour ça. C’est mon quatrième jeûne d’une semaine, que je fais, et j’en fais un tous les ans. C’est vrai que, là, il y avait beaucoup de personnes qui partaient pour 2 ou 3 semaines, je me suis dit que c’était dommage, j’aurais aimé le faire plus longtemps. Cependant, j’ai mes activités professionnelles qui me ramènent chez moi, mais avec volontiers, je reviendrais faire un jeûne plus long. J’ai adoré la façon dont toi et Amandine, même si le groupe est important, l’attention que vous portiez à chaque personne. On a l’impression d’être dans un collectif, mais chacun repart avec des choses sur soi, des bonnes pratiques, ou tout simplement, des choses à développer.”
Rentrer chez soi avec des bagages pour continuer sur le bon chemin.
Eric GANDON : “Tu repars avec des outils ?”
Valérie : “Je repars avec une détermination sur l’alimentation que je n’ai jamais eue jusqu’à présent. A chaque fois qu’il y avait une conférence, je me mettais des barrières. Là, il y a dû avoir un déclic, et cette décision de manger une fois par jour. C’est un challenge, mais je crois qu’il va être facile, car avec tous les ateliers que l’on a eu, ça nous a aidé à ce que ça soit concret et personnel. Dans les jeûnes, c’est collectif, mais celui-ci était personnel. J’ai beaucoup aimé, également, les ateliers de mandala avec Amandine, parce que cela a fait ressortir quelque chose que je ne m’y attendais pas, qui était la relation difficile avec mon père, et j’ai pu couper ça, écrire une lettre, faire une cérémonie auprès de l’océan, et ça m’a allégé, énormément même. Je pars avec cette légèreté, et la décision de ne pas lâcher en revenant à la maison. Je vais revenir.”
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